
Song : Good Bye Lenin - Yann Tiersen - Image ; Philippe Hauger.
Impressionne-moi. J'pense plus qu'à toi. Emprisonne-moi dans ton labyrinthe doré, et emmure la porte d'entrée. Fais de mes pensées une vie de bohème. Aime mon sourire quand tu m'entraînes, mes yeux qui brillent et mes manières, emporte-moi loin.
Fais-moi rêver, de toute manière je ne veux pas d'un homme d'affaire, prends-moi par la main. Fais-moi redécouvrir la mer, celle qui scintille au soleil couchant. Je ne veux que toi en me levant, je suis ta muse, dorénavant. Amuses-toi de mes défauts, garde-toi bien, car c'est trop tôt, de me promettre ton lendemain. Frôle-moi la peau de tes notes graves, ou aigües si tu passes à l'octave, joues-moi ton univers. Montres-moi l'envers de ton décors, je veux une explosion sonore, que tu joues avec le feu couleur d'or.
Je m'y suis brûlé, encore une fois, et je n'avais dictée aucune lois, je ne comprends pas. Comme toutes ces choses d'ailleurs, qui viennent d'une forme d'ailleurs, sans comparaisons. Tu as puisé les ressources, tu me pousses à résilier, putain de nostalgie des jours passés, j'ai encore tellement de doutes. Ne me dis plus jamais "tu", je suis une inconnue, j'attends que tu viennes me chercher, là où je me suis égarée.
Impressionne-moi. J'pense plus qu'à toi. Emprisonne-moi dans ton labyrinthe doré, et emmure la porte d'entrée. Fais de mes pensées une vie de bohème. Aime mon sourire quand tu m'entraînes, mes yeux qui brillent et mes manières, emporte-moi loin.
Fais-moi rêver, de toute manière je ne veux pas d'un homme d'affaire, prends-moi par la main. Fais-moi redécouvrir la mer, celle qui scintille au soleil couchant. Je ne veux que toi en me levant, je suis ta muse, dorénavant. Amuses-toi de mes défauts, garde-toi bien, car c'est trop tôt, de me promettre ton lendemain. Frôle-moi la peau de tes notes graves, ou aigües si tu passes à l'octave, joues-moi ton univers. Montres-moi l'envers de ton décors, je veux une explosion sonore, que tu joues avec le feu couleur d'or.
Je m'y suis brûlé, encore une fois, et je n'avais dictée aucune lois, je ne comprends pas. Comme toutes ces choses d'ailleurs, qui viennent d'une forme d'ailleurs, sans comparaisons. Tu as puisé les ressources, tu me pousses à résilier, putain de nostalgie des jours passés, j'ai encore tellement de doutes. Ne me dis plus jamais "tu", je suis une inconnue, j'attends que tu viennes me chercher, là où je me suis égarée.
Gaëlle
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