« On peut écrire sans écrire, tricher, mais aussi rester là en silence, inutile ou impuissant. Quelque texte essentiel se construit dans la tête sans plus aucun désir de le voir sur le papier, sans plus aucune force de le donner, ne serait-ce qu'à soi-même. » J-L. Lagarce
mercredi 30 mars 2011
Enfoiré-
Arrêtes. Arrêtes de croire dur comme fer à ton enfer complétement tourmenté, complétement foiré. J'ai plus envie d'entendre ta voix me susurrer avec effroi ce que je sais déjà. La connerie qui sort de ta bouche m'englobe d'un énervement farouche, tu ne sais rien, tu n'es rien, tu vas trop loin. Arrêtes d'employer des mots que tu ne connais pas, que tu portes à bout de bras, que tu piétines. Arrêtes de croquer dans mes membres calcinés par le désir de parler plus haut et plus fort que toi. Je fonce droit dans le mur, et avec moi je t'emmure, cesses de t'aventurer par là. Ne me dis plus jamais "tu", car à chaque parole tu me tues, ne me dis pas que tu m'as vu, parce que c'est faux, tu as trop bu. Tes yeux embués, englués dans ta mélasse difforme qui bouche la plus primaire forme de bon sens, tes yeux qui ne voient rien, tu n'es qu'un vaut rien. Tu es saoule, tu tombes dans l'abus, l'abus de pouvoir, l'abus d'ignorance à mon égard. Espèce d'enfoiré, je te ries au nez.
samedi 5 mars 2011
Rebelion.
Moi. Moi et les autres, moi et les vôtres, moi je me vautre. J'suis pas comme toi moi, j'suis pas comme vous. Je me lasse de tout, je me prélasse comme une bécasse. Mais je t'emmerde. J'ai pas peur d'être moi. Je ne veux qu'être moi, mon parcours et mes émois.
J'veux pas d'un truc poétique, je veux pas de tes bonnes manières, j'suis pas ta mère. J'en ai marre de faire des rimes, j'écris pour moi, j'écris pour la nuit, j'écris pour le jour, j'écris pour mon abat-jour, mais pas pour toi. Parce que tu comprends pas, et jamais tu ne pourras fouiller en moi. J'ai du caractère, mais peut être trop pour te plaire, tournes les talons. Je mens comme je respire, je suis la pire des pires, une connasse, une chaudasse si tu veux, n'importe qui. N'importe quoi, pourvu que toi tu y trouve ton compte. Je t'emporte malgré moi, dans mon fort intérieur. Parce que t'éprouve un malin plaisir, et je le sais, à me montrer du doigt, mais je m'en fou, déshabille moi de tes critiques, je serai nue, c'est plus pratique. Baffe-moi sans interruption, parce que t'aimes ça, espèce de con, oui je t'insulte, oui tu ne cilles pas. Tu te dis que tout ça n'est pas pour toi, mais tu te trompes. /Parasites moi./
Je m'en fou de tout, j'te connais pas. Et j'te dévore comme une barbe à papa, gardes-tu encore ton sang froid ? J'suis pas comme toi moi, j'suis pas comme toi.
Je cries ton nom sur les ruelles de mon esprit, j'écris ton noms sur des murs gris, j'écris tes yeux, j'écris mes vœux, j'écris dans mon pieux.
Je ne sais pas si tu m'en veux, parce j'verrai jamais tes yeux, je suis une garce, tu es bigleux.
J'veux pas d'un truc poétique, je veux pas de tes bonnes manières, j'suis pas ta mère. J'en ai marre de faire des rimes, j'écris pour moi, j'écris pour la nuit, j'écris pour le jour, j'écris pour mon abat-jour, mais pas pour toi. Parce que tu comprends pas, et jamais tu ne pourras fouiller en moi. J'ai du caractère, mais peut être trop pour te plaire, tournes les talons. Je mens comme je respire, je suis la pire des pires, une connasse, une chaudasse si tu veux, n'importe qui. N'importe quoi, pourvu que toi tu y trouve ton compte. Je t'emporte malgré moi, dans mon fort intérieur. Parce que t'éprouve un malin plaisir, et je le sais, à me montrer du doigt, mais je m'en fou, déshabille moi de tes critiques, je serai nue, c'est plus pratique. Baffe-moi sans interruption, parce que t'aimes ça, espèce de con, oui je t'insulte, oui tu ne cilles pas. Tu te dis que tout ça n'est pas pour toi, mais tu te trompes. /Parasites moi./
Je m'en fou de tout, j'te connais pas. Et j'te dévore comme une barbe à papa, gardes-tu encore ton sang froid ? J'suis pas comme toi moi, j'suis pas comme toi.
Je cries ton nom sur les ruelles de mon esprit, j'écris ton noms sur des murs gris, j'écris tes yeux, j'écris mes vœux, j'écris dans mon pieux.
Je ne sais pas si tu m'en veux, parce j'verrai jamais tes yeux, je suis une garce, tu es bigleux.
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